Apparitions mariales

Publié le par dossiermystere

La vierge de Gouadeloupe

En 1531, une “Dame du Ciel” apparut à un pauvre Indien à Tepeyac, une collineLa vierge de Gouadeloupe au Nord-Ouest de la Cité de Mexico; Elle se présenta comme la mère du Vrai Dieu, lui donna des instructions pour que l'évêque fit construire une église sur le lieu et laissa une image d'elle même imprimée miraculeusement sur son tilma. Le tilma est un vêtement de pauvre qualité fait à base de cactus qui aurait dû se déteriorer en 20 ans. Aujourd'hui, après 465 ans, il ne montre aucun signe de détérioration et défie toutes les explications scientifiques de son origine.


http://ophtasurf.free.fr/oeil_art/mystereguadalupe.htm

http://taraquebec.org/s-apparitions.html




Un ayate en agave se conserve au maximum 20 ans. Or, pendant 116 ans, celui-ci fut exposé sans même une vitre de protection. A partir de 1647 il fut protégé par une vitre en deux morceaux dont la jointure était fort imparfaite.

 

Ce n’est qu’à partir de 1766 que l’ayate fut protégé par une vitre en un seul morceau. Or, il s’agit d’une région de lacs, comportant des inondations… des insectes, sans compter l’effet des lampes, des cierges, des ex-voto que l’on y accrocha, des linges, des scapulaires que l’on venait frotter sur l’image, des fidèles qui venaient baiser l’image, la toucher, la caresser, avant la pose des vitres (et même parfois après).

 

Au 18ème siècle, on hésitait encore sur la nature exacte du tissu. On ne savait pas s’il s’agissait d’agave ou d’iczotl. On fit donc confectionner deux ayates en chacun de ces deux tissus et on fit peindre sur eux des copies de l’original. Ces deux copies furent très vite détruites par le temps.

 

En 1791, en nettoyant le cadre d’argent, on fit couler un peu du produit sur l’angle supérieur droit de la toile. L’acide aurait dû la crever. Seules quelques taches jaunâtres apparurent et, avec le temps, elles disparaissent peu à peu !

 

Le 14 novembre 1921, un attentat eut lieu dans l’église de la Guadalupe pour tenter de détruire la toile. Une bombe fut placée dans un bouquet déposé au pied de l’autel. Le marbre vola en éclats. Les vitres de l’église tombèrent, ainsi même que celles des maisons alentour. Le lourd crucifix de bronze qui se trouvait sur l’autel fut courbé par la violence de la déflagration. Mais, au-dessus de l’autel, la vitre de l’ayate resta intacte, ainsi que la toile et son image ...

 

 


L’image :

L’image elle-même mesure 143 sur 55 cm. Elle est directement imprimée sur le tissu d’agave sans aucun apprêt, aucun fond, ce qui est normalement impossible.

 

Même lorsqu’il s’agit d’une toile beaucoup plus fine, on pose d’abord une couche faite de colle et de craie, ou tout autre enduit, pour éviter que les fils n’apparaissent à travers la peinture, mêlant leur propre dessin à celui de l’artiste. Cet apprêt évite aussi que la toile ne boive la peinture. L’absence totale d’un quelconque apprêt est donc déjà, pour un professionnel, un phénomène inexplicable.

 

Cette particularité, tout à fait extraordinaire, avait déjà été remarquée lors de l’enquête menée au 17ème siècle. Le R.P. Francisco de Florencia S.J., mort en 1695, a rapporté comment des peintres avaient examiné la toile aussi bien à l’envers qu’à l’endroit et constaté ainsi qu’il n’y avait, sans aucun doute possible, aucun apprêt, aucune couche préparatoire d’aucune sorte, puisque toute l’image avec toutes ses couleurs elles-mêmes se voyait aussi bien sur le revers de la toile qu’à l’endroit.

 

Le grand peintre mexicain du 18ème siècle, Miguel Cabrera, mort en 1768, fit la même constatation et la rapporta dans sa longue description de l’image miraculeuse.

 

Ajoutons encore qu’on ne peut, même au microscope, distinguer aucun coup de pinceau. Les couleurs forment une surface unie comme sur une photo. Le tissu d’agave a fonctionné comme une pellicule photographique recevant directement l’image par un effet de projection mystérieuse.

 

Phénomène évidemment absolument unique et totalement inexplicable !

 

Les pigments :

En 1936, Richard Kuhn, chimiste allemand et prix Nobel de chimie, reçoit deux fibres de cet ayate (une comportant du rouge, une comportant du jaune). Sa conclusion : les colorants ne sont d’origine ni minérale, ni végétale, ni animale, mais d’origine complètement inconnue.

 

Malheureusement nous n’avons toujours pas d’autres détails sur ces tests.

 

Jody Brant Smith est arrivé à contacter le fils du prix Nobel, mais il n’a pu obtenir de lui aucune précision concernant les tests effectués. Le protocole des expériences a-t-il été détruit pendant la dernière guerre, ou se trouve-t-il oublié quelque part ? Nous n’en savons rien.

 

En 1979, le 7 mai, Jody Brant Smith et Philip Serna Callahan, tous les deux de la Nasa, entreprennent de nouvelles recherches. Smith est professeur de philosophie des sciences et de l’esthétique. Il travaille déjà avec une équipe de sindonologie. Callahan est un expert en peinture. Ils prirent, cette nuit-là, 75 photos dont quarante sous lumière infrarouge.

 

En avril 1981, Smith et Callahan purent réaliser plus de cent nouvelles photographies, certaines avec des lumières proches de l’ultraviolet ou de l’infrarouge, certaines portant sur des détails repérés grâce aux expériences précédentes. Une fibre du tissu fut prélevée en bordure pour analyser sa composition, etc.

 

La première constatation, qui ne semble peut-être pas très importante pour des non-spécialistes, c’est l’absence totale d’esquisse sous-jacente à l’image. Comme ils le notent eux-mêmes, l’absence d’esquisse préparatoire ne suffit pas à prouver l’origine miraculeuse de l’image, mais la présence d’une telle esquisse aurait suffi à prouver qu’il s’agissait d’une œuvre humaine.

 

Deuxième constatation : aucun craquelé n’apparaît sur l’image, après quatre cent cinquante ans ! Or, ce phénomène est normalement inévitable.

 

Quel que soit le procédé utilisé lors de la peinture d’un tableau, il y a nécessairement un élément humide. Celui-ci s’évapore avec les années et la peinture, en se desséchant, se craquèle.

 

La troisième constatation concerne les pigments : le bleu du manteau est de pigment inconnu. Callahan se livre à un certain nombre d’hypothèses sur la composition de ce pigment, mais aucune n’est satisfaisante.

 

La couleur du manteau ressemble bien à la nuance que l’on trouve sur les fresques mayas primitives ou sur les « livres » en peau de bêtes des Mixtèques. Ces couleurs semblent avoir été faites d’oxyde de cuivre… mais on est ici devant un phénomène inexplicable, car tous ces bleus sont semi-permanents et connus pour faner considérablement avec le temps, surtout dans les pays chauds.

 

Le bleu du manteau de la Vierge est, au contraire, « d’une intensité égale, non fanée…, d’un pigment bleu à demi trans parent, inconnu… aussi brillant que s’il avait été posé la semaine dernière ».

« De tous les pigments étudiés, le rose est de loin le plus transparent… et finalement inexplicable. »

 

Certains commentateurs de ces recherches avaient pensé à une explication fort simple : quelques artistes, au service de l’Eglise, auraient périodiquement repassé quelques couches pour garder aux couleurs toute leur fraîcheur.

 

Mais, affirme Smith, il n’y a, sur ce bleu ou sur ce rose,

« absolument aucun signe de retouches, aucun coup de pinceau, aucun craquelé, aucun pigment écaillé. Bref, la brillance intacte des couleurs turquoise et rose reste inexplicable ».

 

Et cela d’autant plus que l’image n’a pas du tout bénéficié de mesures de protection particulières contre la lumière comme on le fait aujourd’hui dans les musées pour les œuvres anciennes. Bien au contraire !

 

Le mystère des couleurs et des pigments demeure

Callahan a mesuré l’intensité de la lumière ultra-violette émise par un seul cierge du type de ceux que l’on utilise couramment dans les églises. Il a obtenu plus de 600 microwatts !

« Si l’on multiplie, dit-il, ce résultat par les centaines de cierges votifs disposés sur l’autel d’une petite chapelle, tout près de l’image, sans la protection d’une vitre qui filtrerait cette radiation ultraviolette, on ne peut pas comprendre comment l’image a pu même résister.

 

L’excès de rayons ultraviolets décolore rapidement la plupart des pigments, qu’ils soient organiques ou inorganiques, particulièrement les bleus. Pourtant, le portrait originel garde toute sa fraîcheur et son éclat, comme au jour de sa formation. »

 

Les couleurs du visage et des mains constituent un mystère encore plus troublant. Leurs nuances changent selon qu’on s’approche ou qu’on s’éloigne de l’image. Callahan, qui a étudié le phénomène d’iridescence que l’on trouve sur les plumes des oiseaux et les écailles des papillons ou des scarabées, explique que ce phénomène est dû à une diffraction de la lumière sur une surface irrégulière.

 

Certains auteurs avaient pensé à une sorte de lotion ou de teinture particulière ; d’autres avaient émis l’hypothèse que les fibres avaient déjà été teintées avant le tissage de la toile. Mais, écrit Jody Brant Smith,

« quand Callahan et moi-même nous examinâmes le visage à travers une loupe, dans cette nuit du 7 mai 1979, nous comprîmes qu’aucune explication ne pouvait rendre compte de toutes ses mystérieuses propriétés ».

 

Détail particulièrement surprenant : certains défauts de la toile concourent à la beauté de l’image qui

« tire avantage du manque d’apprêt de la tilma pour lui donner profondeur et la rendre plus semblable à la vie.

 

Cela est particulièrement évident pour la bouche où une fibre grossière du tissu s’élève un peu au-dessus du niveau du reste de la toile et suit parfaitement le bord supérieur de la lèvre.

 

La même imperfection maladroite se retrouve sous la partie éclairée de la joue gauche et sous l’œil droit ».







On a vu que la formation de l'Image de Jésus sur le Linceul était toujours inexpliquée. Celle de Marie sur la Tilma aussi, mais elle n'a rien à voir. On dirait une peinture en couleurs, seulement ces couleurs proviennent de pigments inconnus sur Terre, et l'image imprime recto verso, sans le moindre apprêt, un tissu à la trame aussi lâche qu'irrégulière - autant de facteurs dont la réunion est à la fois impossible et vérifiée à chaque examen.

Mais il y a mieux : on a découvert que les étoiles, sur le manteau de la Vierge, reproduisent exactement l'emplacement des constellations au-dessus de Mexico, au jour et à l'heure de l'apparition devant témoins, ce qui dénote des connaissances en astronomie et une technique de reproduction inimaginables au XVIe siècle. En fait, on se trouve devant une sorte de projection directe du ciel sur l'étoffe, où la position des étoiles est inversée gauche/droite - inversion rappelant l'Image du Linceul, mais le parallèle s'arrête là. En outre, la voûte céleste étant une surface courbe, elle s'inscrit sur l'étoffe plane selon les principes de l'anamorphose, qui ne seront définis qu'au XVIIIe siècle.


Quant aux yeux de cette Vierge imprimée, ils présentent, quand on les examine à l'ophtalmoscope, les caractéristiques de pupilles vivantes, notamment l'effet de relief en creux, impossible à obtenir sur une surface plane et, qui plus est, opaque. En outre, au début du XXe siècle, on découvrit dans ces yeux le reflet des témoins de l'apparition : l'évêque de Mexico et d'autres personnages - observation confirmée depuis par les plus grands ophtalmologues et les spécialistes en traitement photo de la Nasa. Comme dans un œil « normal », la scène que le sujet est en train de voir se reflète trois fois : sur la cornée, puis sur la surface antérieure du cristallin, à l'envers, puis de nouveau à l'endroit sur la surface postérieure du même cristallin. Ce phénomène est en parfait accord avec la loi optique de Purkinje-Samson, définie en 1832. Dernière découverte en date : le Dr Jorge Escalante, à la tête d'une équipe d'ophtalmologues, constata en 1991, au bord des paupières, les signes très nets d'une microcirculation artérielle.



[…] Nous avons donc le choix, une fois de plus, entre l'inconcevable et l'impossible. […]
On a vu que tous les accidents subis par le Linceul au cours de son histoire - inondations, incendies, contaminations bactériennes... - lui avaient causé des dommages irréparables.
[…]. La Tilma, elle, va très bien.

Tout d'abord, ce fragile tissu d'agave est indestructible, personne ne comprend comment. On fit des copies de la Vierge sur des étoffes identiques, qui tombèrent en poussière au bout de quelques années. Exposé durant plus d'un siècle sans même une vitre de protection, l'original résista aux insectes, à la ferveur des fidèles qui le touchaient et l'embrassaient sans relâche, et surtout à la chaleur des cierges brûlant en permanence tout autour. En 1791, tandis qu'on nettoyait son cadre d'argent, on fit couler sur le tissu de l'acide, qui logiquement aurait dû crever la surface. Les taches jaunâtres qui en furent les seules conséquences disparaissent peu à peu au fil des ans, d'après les spécialistes qui suivent cette étrange régénération textile. Enfin, le 14 novembre 1921, une bombe fut placée sous la Tilma. Les vitres de la basilique se brisèrent comme celles des habitations alentour, le marbre de l'autel vola en éclats, son crucifix de bronze se tordit sous la violence de l'explosion. Qu'advint-il de la relique suspendue juste au-dessus ? Ni le cadre, ni le tissu, ni l'Image ne subirent le moindre dommage.

On ne s'étonnera donc pas que ce vêtement illustré fasse des miracles. […]

Juan Diego fut canonisé par Jean-Paul II en juillet 2002. Deux miracles au moins sont obligatoires pour un futur saint, avant de pouvoir instruire le dossier. L'un de ceux qui furent retenus, parmi des centaines d'autres, est celui du 3 mai 1990. Un jeune homme se jette dans le vide, sous les yeux de sa mère, s'écrase la tête la première sur le bitume. On le transporte à l'hôpital, où le diagnostic ne laisse aucun espoir. Fracture à la base du crâne, rupture de la colonne vertébr
ale : c'est la paralysie totale et la mort imminente. Sa mère se précipite à la basilique de Guadalupe pour invoquer la Vierge et Juan Diego, réputés très efficaces dans les cas désespérés. Sept jours plus tard, le jeune homme se retrouve en parfaite santé physique et mentale, sans aucune séquelle.

J'ai rencontré à Mexico le Pr Hernandez Illescas, chargé de réunir et transmettre au Vatican les pièces à conviction. Il m'a montré les deux énormes tomes reliés en veau qui rassemblent le dossier médical, les dépositions des témoins et les compléments d'enquête. Après examen, le comité de médecins indépendants saisi par la Congrégation pour la cause des saints conclut, à l'unanimité, qu'il ne s'agissait pas d'un miracle, mais de deux miracles distincts, chacun des traumatismes constatés étant incurable et mortel.




Extrait du livre Cloner le Christ
Didier van Cauwelaert









Apparitions de San Damiano (italie)


Quelques phrases des messages de la Vierge Marie :
Je viens pour préparer vos coeurs par un grand amour, par une grande charité, par un grand élan... Préparons tous les coeurs à ma Venue et à celle de mon Fils Jésus. (17.11.1967)

Apparitions de San Damiano (italie)Le monde entier doit savoir que mon Règne et celui de mon Fils arriveront bientôt, et que je suis déjà sur la terre. (13.11.1967)

Je viendrai avec une grande lumière et je triompherai sur le monde entier. Et mon Fils Jésus viendra avec un Nouveau Royaume et portera la paix et l'amour, la tranquillité et la joie dans les coeurs. (13.5.1967)


HISTORIQUE (paru dans Etoile Notre-Dame n°69 - Mars 1999)
Rosa Buzzini était d'une famille de sept enfants dont trois moururent en bas-âge. Quatre filles devinrent adultes : Pierina, Anna, Rosa et Giuseppina.

L'année même de la naissance de Rosa, (née le 26 Janvier 1909), Frederico, son père, fut amputé d'une jambe. II mourut deux ans plus tard d'une pneumonie.

La veuve de Frederico, à son retour du cimetière, s'est rendue à l'église avec ses quatre petites filles. Devant le Saint-Sacrement, elle a dit: "Jésus, maintenant c'est Toi qui va remplacer mon époux et père. Je te consacre mes filles, afin qu'elles soient toutes tes épouses. "

Elle a appelé le prêtre, les a fait bénir: "Que soit faite ta volonté, Jésus, non la mienne. Je te donne mes filles et moi-même pour toujours. "

La mère de Rosa continua à habiter avec ses quatre filles auprès de son beau-père. Elle suivit celui-ci lorsqu'il prit en fermage une grande propriété agricole à Guzzano.

Rosa ne fréquenta l'école que durant trois hivers. L'instruction qu'elle reçut fut donc rudimentaire. Si elle manquait de formation intellectuelle, Rosa n'en avait pas moins l'esprit vif et une bonne mémoire. Elle ne voyait les choses du monde qu'à travers les vérités de la foi qu'elle comprenait d'instinct.

Comme ses soeurs, elle a appris toute jeune à prier. "Maman, disait-elle, nous faisait réciter le rosaire tous les jours. Nous avions toujours notre chapelet avec nous. Nous récitions des prières - là où nous nous trouvions - durant la journée, notamment le chapelet des anges ou les sept plaies de Jésus. »

Les trois soeurs de Rosa entrèrent au couvent : Pierina, religieuse du Sacré-Coeur au Brésil. Anna, était franciscaine au Sri Lanka. La cadette, Giuseppina, au Carmel de San Colombano di Lucca.

Rosa, elle, choisit une autre voie, celle du mariage. En effet, si Rosa aimait profondément le Bon Dieu, elle aimait aussi beaucoup les enfants... Et le 7 Octobre 1937, âgée de 28 ans, elle épousa un jeune ouvrier de la briqueterie de Ponte dell'Olio, Giuseppe Quattrini.

Giuseppe et Rosa eurent trois enfants Giacomina en 1938, Paolo en 1943 et PierGiorgio en 1952. Chaque naissance nécessita une césarienne. Lors de la troisième grossesse, le médecin conseilla fortement un avortement thérapeutique. Rosa refusa catégoriquement, affirmant : "Cet enfant, c'est Dieu qui me l'a donné !" Ce troisième accouchement eut lieu dans des conditions particulièrement difficiles et la santé de Rosa s'aggrava progressivement. Dès lors, Rosa fit des aller et retour de son domicile à l'hôpital et de l'hôpital à son domicile. Le 24 Septembre 1961, elle est rentrée de l'hôpital pour mourir chez elle lorsque, le 29 septembre, en la fête de saint Michel archange, une mystérieuse dame lui rendit visite...

Peu avant midi, le 29 Septembre, une jeune femme inconnue vint donc frapper à la porte. Tante Adèle qui vivait avec la famille, alla ouvrir. La femme, très belle, portait le costume des paysannes de la région. Elle avait sur la tête un foulard bleu ciel. La visiteuse venait quêter cinq cents lires pour les oeuvres de Padre Pio. Tante Adèle lui rétorqua que entre eux tous ils ne possédaient que mille lires, lesquelles avaient d'ailleurs été empruntées. La visiteuse se tourna vers Rosa qui était alitée au fond de la pièce
-As-tu foi en Padre Pio ? lui demanda-t-elle
- Oui, répondit Rosa, j'ai grande confiance en lui. Je le prie déjà depuis un certain temps, mais je ne suis pas encore guérie.
- Si tu as confiance en Padre Pio, il te fera guérir.
A ce moment-là, midi a sonné et la dame lui dit
- Récitons l'Angélus !
Puis s'approchant de Rosa, elle ajouta:
-Allons, lève-toi !
- Je ne peux pas me lever, j'ai de trop fortes douleurs.
- Donne-moi la main! Lève-toi
- Je ne peux pas.
- Donne-moi encore l'autre main!
Alors Rosa se leva et ensemble elles récitèrent l'Angélus. Après l'Angélus, la dame ajouta:
- Maintenant, disons cinq Pater, Ave et Gloria aux intentions de Padre Pio, en l'honneur des cinq plaies de Notre-Seigneur.
Pendant ce temps, la dame toucha les plaies de Rosa qui se fermèrent instantanément.
- Tu te rendras maintenant chez Padre Pio.
- Je n'ai ni argent, ni vêtements, objecta Rosa.
- Tu auras ce qu'il faut.
Descendant de la chambre à l'étage, tante Adèle a alors donné les 500 lires à la dame. Elle les a prises, l'a beaucoup remerciée et lui a dit avant de sortir:
- Ta nièce a grande confiance en Padre Pio, mais toi pas assez.
Tante Adèle, voyant Rosa près de l'évier et qui commençait à laver la vaisselle s'exclama:
- Mais qu'est-ce que tu fais ici, Rosa ? C'est moi qui lave la vaisselle, pas toi !
Rosa lui sauta alors au cou et lui dit en l'embrassant: «Mais, tante, je suis guérie».
- C'est la Madone qui est venue en personne, j'aurais du m'en douter, conclue avec des regrets Tante Adèle.

Pendant ce temps, Giuseppe, la mari de Rosa était allé cueillir des châtaignes pour assurer aux siens le moyen d'assouvir leur faim, car il devait entrer à l'hôpital le lendemain pour être opéré d'une hernie.

A son retour, quelle ne fut pas sa surprise de constater que son épouse était réellement guérie. Une vie nouvelle va commencer, pensa-t-il...

Selon les témoignages d'habitants du village, Rosa Quattrini reprit aussitôt une vie tout à fait normale et se rendait chaque jour à l'église.

Son mari Giuseppe, ayant trouvé un nouveau lieu d'habitation ainsi que l'avait promis la mystérieuse visiteuse, mais entrant, le lendemain, à l'hôpital, ce fut Rosa elle-même, avec sa tante qui assura le déménagement des meubles et des affaires en charrette à bras, jusqu'à une distance d'un bon kilomètre.

Quelques mois plus tard, en mai 1962, Rosa se rendit avec un pèlerinage diocésain placé sous la conduite spirituelle de son curé, Don Edgardo Pellacani, à San Giovanni Rotondo.

Le matin, tandis qu'elle récitait le chapelet sur le parvis de l'église à San Giovanni, elle s'entendit soudain appeler: "Rosa, Rosa !" Elle se retourna et vit avec surprise la Dame...
- Tu me reconnais ?
- Oui, répond Rosa, vous êtes la Dame qui m'avez apporté la guérison.
- Je suis la Mère de Consolation, la Mère des affligés. Dis-le donc à San Damiano, et au professeur qui n'a pas voulu croire à ta guérison. Après la messe, nous nous trouverons près de la sainte table et je t'accompagnerai chez Padre Pio. (Biographie de Padre Pio)

Ainsi fut fait. Dès qu'elles furent auprès de Padre Pio, la Vierge disparut sans laisser de trace. Sans s'émouvoir d'une telle intervention et d'un tel départ, Padre Pio reçut Mamma Rosa et lui enjoignit d'aller assister les malades, spirituellement surtout, durant deux ans.

On imagine la perplexité de Rosa, elle qui n'avait jamais travaillé chez les autres... Elle raconte elle-même cette période :"J'entendais une voix intérieure qui me disait où je devais me rendre : c'était toujours chez des malades proches de la mort. Pendant ces années, je suis allée très souvent chez Padre Pio, emmenant des malades. Lorsque ma tante a contracté une pneumonie, je suis retournée le voir. Partis le 22 septembre nous y sommes restés jusqu'au 26. Je me suis confessée au Père. 11 m'a dit de ne plus quitter notre maison, de prier devant la petite chapelle de saint Michel, afin qu'il m'illumine, me guide, m'assiste et me défende, car il m'adviendra un grand événement...» «Prépare-toi par la prière et le sacrifice... , m'a-t-il dit. Saint Michel et notre Maman céleste te seront toujours proches, et moi aussi. »

Le 16 Octobre 1964, un vendredi, alors que sonnait midi au clocher du village, Rosa récitait l'Angélus, elle entendit une voix l'appeler du dehors: "Rosa viens, viens ici, je t'attends!".

La voix était douce et si belle et, arrivée au milieu de la cour, elle vit une nuée blanche descendre du ciel, elle était éclatante de lumière et parsemée d'étoiles d'or et d'argent. Elle contenait aussi un nombre incalculable de pétales de roses de toutes les couleurs qui s'évanouissaient en touchant le sol du jardin.

Un instant après, est sorti de la nuée un grand globe rouge qui s'est placé sur le poirier. Alors la nuée disparut et la Madonne parut entourée d'une vive lumière.

La Madone était vêtue d'un grand manteau blanc très léger qui, flottant au vent, semblait recouvrir le monde entier. Elle avait une robe bleue avec une ceinture blanche d'où à gauche pendait un chapelet avec des grains resplendissants se terminant par un crucifix tout fulgurant ou Jésus crucifié paraissait vivant. Elle avait autour du cou un chapelet rond plein d'étoiles étincelantes. De ses mains, sortaient de grands rayons lumineux qui me frappaient le visage et tout mon être... Notre Dame des Roses, rappelant son rôle de Mère, s'installait dans ce petit Jardin et donnait son premier Message:

"Ma petite fille, je viens de très loin. Annonce au monde que tous doivent prier, car Jésus ne peut plus porter sa Croix. Je veux que vous soyez tous sauvés, tous, bons et mauvais. Je suis la Mère de l'Amour, la Mère de tous, et vous, vous êtes tous mes enfants. Je veux que vous soyez tous sauvés. Aussi suis-je venue avertir le monde qu'il faut prier, car les châtiments sont proches. Je reviendrai chaque vendredi, je te donnerai des messages, et tu devras les annoncer au monde!"...

D'autres phrases encore:
Je viendrai avec une grande lumière en forme de colombe pour éclairer le monde entier. Tous la verront, tous s'embraseront d'amour pour Moi et tous auront la lumière du Ciel pour réveiller vos coeurs de ténèbres... Mais ceux qui n'auront pas la foi, qu'en sera-t-il d'eux ?(4 4 70)

Une étoile viendra dans le Ciel. Avec cette étoile, je viendrai au milieu de vous, et je donnerai la Lumière au monde entier! Ceux qui auront la foi trouveront dans leur coeur tant de joies et de consolations, et tant d'âmes se convertiront! Elles se sauveront et auront le salut et la paix .... Cette étoile, quand je viendrai, sera grande comme cet "Enclos" et voyagera sur le monde entier... Elle portera la Lumière partout et j'enverrai ses rayons dans le coeur des prêtres et dans toutes les âmes.(7 4 67)

La conversion de Robert Hossein

Si Robert Hossein multiplie aujourd'hui les spectacles à thème religieux, c'est parce qu'il a soudainement découvert la foi, à San Damiano, un petit hameau de Lombardie où la Vierge serait apparue pour la première fois le 16 octobre 1964.
La "voyante" était une paysanne de cinquante quatre ans, surnommée "Mamma Rosa", décédée en 1984. La Vierge, affirmait-elle, lui avait enjoint de faire de son jardin un lieu de prière et d'inviter le plus grand nombre de gens à venir y prier. Et chaque mois des trains et cars français partent de Paris pour y passer 3 jours.
Robert Hossein n'a pas fait partie de ces "voyages organisés". Mais de passage en Italie, dans la région de Plaisance, il s'est décidé à se rendre à San Damiano. Il garde depuis sur lui en permanence, dans son portefeuille, la photo prise au village en 1971, par un amateur. Le cliché qui montre une déformation étrange du soleil qui paraît surmonter ce que les fidèles de San Damiano n'hésitent pas à désigner comme une apparition de la Vierge, avait été expertisé à l'époque par des techniciens de Leiz France, et certifié par eux sans trucage.
Depusi Robert Hossein s'est fait "rebaptiser" et il assure vivre intensément sa foi.



http://apotres.amour.free.fr/page7/sandamiano.htm

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C'est le 11 février 1858 que se produit l'événement qui va bouleverser l'avenir de Lourdes. Ce jour là, une jeune fille de 14 ans, Bernadette SOUBIROUS, issue d'une famille pauvre de quatre enfants dont le père est un meunier ruiné, s'en va avec sa soeur et une autre fillette ramasser du bois sur les rives du gave.
NOTRE DAME DE LOURDES
Au dessus d'une grotte ouverte, Bernadette voit une "Belle Dame" ; elle lui apparaîtra 18 fois entre le 11 février et le 16 juillet. Le 24 février, elle dit à Bernadette : "Allez dire aux prêtres de bâtir ici une chapelle et qu'on y vienne en procession". Ce n'est qu'à la seizième apparition, le 25 mars, que la Dame lui révèle : "je suis l'Immaculée Conception".

A chaque apparition grossissait le flot des témoins, d'abord par dizaines puis par centaines. Le 18 janvier 1862 l'Evêque de Tarbes, Mgr Laurence, rendait le jugement de l'Eglise : "La Vierge Marie est réellement apparue à Bernadette Soubirous".

Le pèlerinage était reconnu.


Aujourd'hui quelque 5 millions de visiteurs viennent chaque année de 130 pays ; telle est la vraie dimension de Lourdes. Un des tous premiers lieux de pèlerinage actuels, un lieu de rencontre, de partage universel, où des milliers de bénévoles accompagnent l'espoir des malades et handicapés qui constituent le "coeur" des pèlerinages officiels.

Le 11 février, anniversaire de la première apparition, est la grande fête de Notre Dame de Lourdes, qui fut proclamée par le pape Jean-Paul II, Journée Mondiale des malades pour marquer cette vocation spirituelle de Lourdes.

Première Apparition - 11 février 1858

Accompagnée de sa sœur et d'une amie, Bernadette se rend à Massabielle, le long du Gave, pour ramasser du bois mort. Enlevant ses bas pour traverser le ruisseau, elle entend un bruit qui ressemblait à un coup de vent, elle lève la tête vers la Grotte: "J'aperçus une Dame vêtue de blanc: elle portait une robe blanche, un voile blanc également, une ceinture bleue et une rose d'or sur chaque pied." Elle fait le signe de la Croix et récite le chapelet avec la Dame. La prière terminée, la Dame disparaît.

Deuxième Apparition - 14 février 1858

Bernadette ressent une force intérieure qui la pousse à retourner à la Grotte malgré l'interdiction de ses parents. Sur son insistance, sa mère l'y autorise; après la première dizaine de chapelet, elle voit apparaître la même Dame. Elle lui jette de l'eau bénite. La Dame sourit et incline la tête.

Troisième Apparition - 18 février 1858

Pour la première fois, la Dame parle. Bernadette lui présente une écritoire et lui demande d'écrire son nom. Elle lui dit: "Ce n'est pas nécessaire" (N'ey pas necessari), et elle ajoute: "Voulez-vous avoir la grâce de venir ici pendant quinze jours?" (Boulet aoue ra gracia de bié aci penden quinze dias?). Bernadette répond oui. La Dame dit: "Je ne vous promets pas d'être heureuse en ce monde, mais dans l'autre" (Nou prometi pas deb hé urousa en este mounde, mès en aoute).

Quatrième Apparition - 19 février 1858

Cinquième Apparition - 20 février 1858

Sixième Apparition - 21 février 1858

Septième Apparition - 23 février 1858

Huitième Apparition - 24 février 1858

Message de prière et de pénitence. La Dame dit à Bernadette: "Priez Dieu pour les pécheurs." "Allez baiser la terre en pénitence pour les pécheurs."

Neuvième Apparition - 25 février 1858

La source. "Allez boire à la source et vous y laver" (Anat béoué en'a houn é b'y laoua). Bernadette raconte: "Elle me dit d'aller boire à la source (...) je ne trouvai qu'un peu d'eau vaseuse. Au quatrième essai je pus boire."

Dixième Apparition - 27 février 1858

Onzième Apparition - 28 février 1858

Douzième Apparition - 1er mars 1858

Treizième Apparition - 2 mars 1858

La Dame dit à Bernadette: "Allez dire aux prêtres qu'on vienne ici en procession et qu'on y bâtisse une chapelle."

Quatorzième Apparition - 3 mars 1858

Quinzième Apparition - 4 mars 1858

Seizième Apparition - 25 mars 1858, Fête de l'Annonciation

La Dame dit son nom: "Je suis l'Immaculée Conception" (Que soy era Immaculada Councepciou).

Dix-septième Apparition - 7 avril 1858

Dix-huitième Apparition - 16 juillet 1858, Fête de Notre-Dame du Mont-Carmel


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Apparitions de la Vierge en Égypte

Depuis 1968, la Vierge Marie fait de multiples apparitions au-dessus des églises coptes d'Egypte.
Des centaines de milliers de témoins ont assisté à l'étrange phénomène.

Pour la première fois, ces apparitions mariales ont été photographiées, et même filmées !

Le Père François Brune est allé enquêter sur place concernant cette incroyable affaire...

Apparitions de la Vierge en Égypte

Il s'agit certainement d'un phénomène surnaturel les plus spectaculaires non seulement du siècle dernier et de ce siècle commençant, mais de toute l'histoire de l'Eglise et de l'Humanité.

L'explication par hallucination collective ne suffit pas à rendre compte du phénomène.

Il se passe là quelque chose d'extraordinaire que la science n'a toujours pas pu expliquer.


Un cas unique passé sous silence


Normalement, dans tous les cas d'apparitions religieuses de la Vierge, du Christ ou des saints, seuls quelques voyants privilégiés sont admis à percevoir ces images d'un autre monde.


Or, il n'en a pas été de même lors de ces apparitions de la Vierge en Egypte.
Ce sont des millions d'hommes, Egyptiens ou étrangers, qui ont vu ces formes lumineuses de la Vierge, et cela pendant des mois, voire des années.

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Toute la presse de langue arabe en a parlé abondamment, avec des photos à l'appui, non seulement en Egypte mais dans tout le monde arabophone, et même au-delà, comme le Pakistan ou l'Indonésie.


1968, Zeitoun : premières apparitions


Tout commença le 2 avril 1968, par l'apparition de la silhouette toute blanche d'une jeune femme au-dessus de la coupole d'une humble église d'un quartier pauvre du Caire.

Cette église était alors séparée par une rue d'une grande esplanade, qui servait de terminal à une ligne d'autobus.

Les mécaniciens qui se trouvaient là, furent les premiers témoins.

Certains crurent qu'il s'agissait d'une religieuse, d'autres d'une jeune femme qui voulait se suicider.

L'un d'eux courut finalement prévenir le curé de la paroisse, qui comprit tout de suite de qui il s'agissait vraiment...

Le soir suivant, nouvelle apparition. Il en fut de même les jours suivants. Ces apparitions pouvaient durer plusieurs heures, cesser pour se produire à nouveau quelques heures plus tard au cours de la même nuit.

Elles s'espacèrent peu à peu au rythme de deux ou trois par semaine, puis à une ou deux par mois. La dernière au-dessus de cette église eut lieu en 1971.


Des témoins en abondance !



Ce sont des foules entières qui ont alors accourue vers Zeitoun. Toutes les rues adjacentes étaient pleines de gens venus voir la Vierge, l'esplanade était littéralement envahie.

Il fallut déplacer le terminal des bus. Les murets des maisons voisines cédèrent rapidement sous la pression de la foule.
Les gens ne sachant pas exactement quand l'apparition aurait lieu, couchaient sur l'asphalte en étendant des couvertures.


Dans l'église, les fidèles priaient et chantaient.
Les premiers jours, certains militaires y virent un signal offert aux bombardiers israéliens. C'est qu'on était juste à la fin d'une guerre [...]


La police crut à une supercherie montée par les chrétiens. Elle fouilla les maisons des alentours à la recherche de quelque projecteur, soupçonnant même des effets d'hologrammes. Mais sur les toits, les terrasses, dans les arbres même elle ne trouva rien.


Les lumières partaient parfois de l'intérieur de l'église, sortant par les fenêtres disposées à la base de la coupole centrale pour éclater ensuite dans le ciel et prendre forme au-dessus de la coupole. Certaines apparitions ont eu lieu même en plein jour, éliminant ainsi toute hypothèse de fraude.


Croix, anges et colombes




La Vierge apparaissait toujours très lumineuse. Elle allait et venait entre les coupoles de l'église, d'un angle à l'autre de l'édifice pour que tout le monde puisse la voir.

Elle s'inclinait, bénissait, tenant parfois à la main une croix ou un rameau d'olivier.

Elle portait parfois le Christ enfant, fut quelquefois accompagnée d'anges.

Des sortes d'oiseaux lumineux pouvaient l'entourer ou annoncer sa venue, plus grands que les colombes, illuminés de l'intérieur, ailes déployées mais immobiles, glissant dans le ciel, formant parfois des figures : une couronne autour de la Vierge ou une grande croix.

Les vraies colombes ne volent jamais la nuit et ne font pas de dessins dans le ciel !


Ces apparitions ont été vues par des milliers de personnes, parfois plus de 200 000 en une nuit, peu à peu des millions au fil des mois et des années.


Il ne peut s'agir d'hallucination collective, car des photos ont été prises. Mais l'apparition était chaque fois si lumineuse qu'elle ne permet pas de distinguer sur ces clichés les traits du visage.


De nombreux témoins cependant affirment qu'ils pouvaient parfaitement voir l'expression du visage, toujours plein de bonté, mais souvent triste.




D'étranges guérisons chez les témoins




Certains témoins semblent également avoir bénéficié de guérisons miraculeuses à la vue de l'apparition mariale.


Un jour en fin d'après-midi, un homme aperçut la Vierge et croyant qu'elle voulait se suicider, lui cria aussitôt "Madame ! Ne sautez pas !" Joignant d'instinct le geste à la parole, il tendit la main dans sa direction, l'index pointant vers elle.


Or, cet index portait un bandage. Quelques jours plus tôt, il s'était coincé le doigt ; la gangrène s'y était mise, et l'on devait l'amputer de ce doigt le lendemain.

Mais le jour suivant, à l'hôpital, le chirurgien, tout surpris, constata la guérison complète.


D'autres miracles ont suivi, constatés par des médecins, des chirurgiens.




Les apparitions s'étendent à toute l'Egypte




En 1982, d'autres apparitions ont eu lieu à Edfou, tout à fait au Sud de l'Egypte; Les tensions étaient alors très vives entre le gouvernement et le chef de l'Eglise copte.

Le Patriarche était assigné à résidence dans un monastère, et mis dans l'impossibilité d'exercer ses fonctions.


Dans ces jours sombres pour les chrétiens d'Egypte, les apparitions d'Edfou prirent une forme comparable à celle d'hologrammes, mais sans aucune intervention humaine.


Des scènes entières de la vie du Christ se formaient dans l'église sous les yeux des fidèles.

Puis, en 1986-1987, nouvelles manifestations surnaturelles à Choubra, au plein centre du Caire, dans un quartier très pauvre. ce furent d'abord des lumières extrêmement vives, parfois colorées, éclatantes comme des flashs, mais qui balayaient la façade de l'église, sortaient de la base de la coupole centrale, passaient d'un clocher à l'autre.

Il y eut quelques apparitions très nettes et la Vierge aussi.


Comme à Zeitoun, les témoins se racontaient ce qu'ils voyaient pour s'assurer qu'ils voyaient bien la même chose.
Par mesure de sécurité, la police en vint rapidement à interdire l'accès du quartier aux non-riverains dès la tombée de la nuit.

Les apparitions se produisirent alors aux premières lueurs de l'aube.


Information à la une des médias locaux


Nouvelles manifestations de la Vierge en 1990 dans un monastère près d'Assiout, et sur différentes églises à travers le pays, en 1995-1996, 1997, 1999, 2000, 2001-2002 à Assiout et enfin en 2002 dans le diocèse de Gizeh, près du Caire.

Celles d'Assiout prirent une ampleur particulière : il s'agit de la troisième ville d'Egypte par le nombre d'habitants.


Ce fut un véritable ballet de lumières. Le clergé de la cathédrale copte demanda aux touristes qui se trouvaient là, d'écrire leurs témoignages.

il y en a de tous les pays et de tous les horizons. Des ingénieurs d'Australie, une religieuse de Colombie, des diplomates...


Là aussi, des colombes symbole de paix, apparurent en pleine nuit, glissant dans le ciel.

Bien entendu, toute la presse locale et nationale rendait constamment compte des développements de ces événements, aussi bien les journaux musulmans que la presse de la minorité chrétienne.

Les récits faisaient souvent "la une" de tous les médias avec des photos des apparitions et des photos de l'immense foule, illuminée par les apparitions elles-mêmes.

http://entite.over-blog.com/article-10960811.html


Apparition à Podbrdo en 1981



PREMIER JOUR

24 juin 1981, vers 18 heures, sur la colline de Crnica, appelée aujourd’hui Colline des Apparitions ou Podbrdo, plusieurs jeunes ont déclaré avoir vu une femme particulièrement belle avec un petit enfant dans les bras. Il s’agit de Ivanka Ivanković, Mirjana Dragičević, Vicka Ivanković, Ivan Dragičević, Ivanka Ivanković et Milka Pavlović. Elle ne leur a rien dit, mais par des gestes, Elle leur a demandé de se rapprocher d’Elle. Surpris, ils ont eu peur de s’approcher, même s’ils ont tout de suite pensé qu’il s’agissait de la Vierge Marie."


DEUXIEME JOUR

L
e deuxième jour, le 25 juin 1981, dans l’espoir de La revoir à nouveau, les enfants ont décidé de se retrouver à l’endroit où ils avaient vu la Mère de Dieu leur apparaître. De manière inattendue, il y a eu un éclat de lumière, les enfants ont levé les yeux et ont vu la Vierge Marie, cette fois-ci sans l’enfant. Elle leur a souri aimablement. Elle était incroyablement belle. Elle leur a fait signe de s’approcher. Ils se sont encouragés mutuellement et, une fois près d’Elle, sont tombés à genoux et ont commencé à prier : « Notre Père… », « Je vous salue Marie… » et « Gloire au Père… ». La Vierge Marie a prié avec eux, sauf le « Je vous salue Marie… ».
Après la prière, la Vierge Marie leur a parlé et les enfants l’ont questionnée. Ivanka qui L’avait vue la première lui a demandé des nouvelles de sa maman qui était morte deux mois auparavant. Ensuite, Mirjana a demandé à la Sainte Vierge de donner des signes. Elle a souri et elle leur a simplement dit de dire aux gens qu’ils n’étaient ni des menteurs, ni dérangés mentalement, comme certains l’avaient déjà déclaré.
Avant de les quitter, la Sainte Vierge leur a dit : « Dieu est avec vous, mes anges ! » Mais avant cela, alors qu’ils se demandaient en eux-mêmes s’ils allaient La voir le lendemain, Elle a fait un signe de tête affirmatif.
D’après les enfants, il est impossible de décrire cette rencontre en détail, tant tout est merveilleux.
Ce deuxième jour, deux enfants présents le premier jour, Ivanka Ivanković et Milka Pavlović, étaient absents ; ils étaient remplacés par deux autres jeunes Marija Pavlović et Jakov Čolo. Depuis ce jour, la Mère de Dieu est régulièrement apparue à ces six jeunes.
Milka Pavlović et Ivanka Ivanković, eux, n’ont plus jamais vu la Vierge Marie, même quand ils sont retournés vers l’endroit des apparitions."



TROISIEME JOUR

L
e 26 juin 1981, impatients, les enfants attendaient qu’il soit 18 heures, l’heure de l’apparition. Ils sont retournés au même endroit afin d’y rencontrer la Mère de Dieu. Ils étaient très heureux même si leur joie était mêlée à la peur en se demandant ce qui allait arriver de ces événements. Malgré tout, les enfants sentaient une espèce de force intérieure qui les poussaient vers la rencontre avec la Vierge.
A nouveau de manière inattendue, tandis que les jeunes étaient en chemin, il y a eu trois éclairs. C’était pour eux et pour ceux qui les suivaient le signal que la Vierge était présente parmi eux. Ce jour là, la Vierge Marie est apparue au même endroit même si c’était un peu plus loin que les autres jours. Tout d’un coup, Elle a disparu. Mais dès que les enfants ont commencé à prier Elle est réapparue. Elle était joyeuse, Elle souriait et une fois encore sa beauté était indescriptible.
Ce troisième jour, alors que Vicka quittait sa maison, sa grand-mère lui a conseillé de prendre de l’eau bénite, afin de vérifier s’il ne s’agissait pas de Satan. Quand les enfants se sont trouvés près de la Vierge, Vicka a pris l’eau bénite et en a jeté vers l’apparition en disant : « Si tu es la Mère de Dieu alors je t’en prie reste, mais si tu ne l’es pas, quitte nous ! » La Vierge n’a fait que sourire à ses mots et Elle est restée avec les enfants. C’est alors que Mirjana Dragičević lui a demandé son nom et Elle a répondu : « Je suis la Sainte Vierge. »
Ce même jour, quand les enfants sont descendus de la colline, la Vierge Marie est apparue une seconde fois, mais uniquement à Marija Pavlović et Elle lui a dit : « Paix, paix, paix. » Marija pouvait voir une grande croix derrière la Vierge Marie qui a ajouté les paroles suivantes : « La paix doit se faire entre les hommes et Dieu et entre tous les hommes ! » Cette deuxième apparition du troisième jour a eu lieu est à mi-chemin de l’endroit des premières apparitions ."



QUATRIEME JOUR

L
e 27 juin 1981, la Vierge leur est apparue par trois fois. A cette occasion, les enfants posèrent toutes sortes de questions et la Sainte Vierge y répondit. Pour les prêtres, Elle donna ce message : « Qu’ils soient persévérants dans la foi et qu’ils protègent la foi du peuple ! » Une fois de plus, Jakov et Mirjana demandèrent un signe, car la population commençait à les accuser de mensonge et de prendre des drogues. « N’ayez peur de rien », répondit la Vierge.
Avant de partir, lorsqu’ils lui demandèrent si Elle reviendrait, Elle répondit affirmativement. En descendant du Podbrdo, Elle apparut une nouvelle fois et leur dit : « Que Dieu soit avec vous mes anges, allez dans la paix de Dieu ! » "



CINQUIEME JOUR
L
e 28 juin 1981, une foule importante se rassembla dès les premières heures du matin. A midi, il y avait près de 15’000 personnes. Ce même jour, le curé de la paroisse, le père Jozo Zovko, interrogea les enfants sur ce qu’ils avaient vu et entendu les jours précédents.

A l’heure habituelle, la Sainte Vierge apparut. Les enfants prièrent avec Elle, après quoi ils lui posèrent certaines questions. Vicka, par exemple, demanda : « Chère Gospa, qu’attends-Tu de nous et de nos prêtres ? » La Vierge lui répondit : « Le peuple doit prier et croire fermement. » En ce qui concerne les prêtres, Elle répondit qu’ils devaient avoir une foi ferme et aider les autres à faire de même. Ce jour-là, la Vierge disparut et réapparut à plusieurs reprises. Durant une apparition, les enfants lui demandèrent pourquoi Elle n’apparaissait pas dans l’église, afin que tous puissent la voir. Elle répondit : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »
Bien que la foule les assaillît de questions et que ce jour fût particulièrement chaud et lourd, les voyants étaient comme au ciel."



SIXIEME JOUR
L
e 29 juin 1981, les enfants furent emmenés à Mostar pour un examen médical et furent déclarés « en bonne santé ». La conclusion du médecin-chef fut : « Les enfants ne sont pas fous, comme le pensent les personnes qui les ont amenés ici. »
Sur la montagne des apparitions, la foule fut plus nombreuse que jamais. Dès que les enfants a rivèrent sur place et commencèrent à prier, la Sainte Vierge apparut. A cette occasion, Elle les exhorta à la foi en disant : « Que le peuple croie fermement et ne craigne rien. »
Ce jour-là, une femme médecin qui avait suivi et observé les enfants désira toucher la Sainte Vierge pendant l’apparition. Les enfants guidèrent sa main à l’endroit où se trouvait l’épaule de la Vierge et Elle ressentit un picotement. Le médecin, bien que se déclarant athée, admit après cela : « Ici, il se passe quelque chose d’étrange ! »

Le même jour une enfant, Danijela Setka, fut miraculeusement guérie. Ses parents l’avaient amenée à Medjugorje pour prier spécialement pour sa guérison. La Vierge Marie avait promis que cela arriverait si les parents priaient et jeûnaient avec une foi ferme. L’enfant fut effectivement guérie."



SEPTIEME JOUR
L
e 30 juin, deux jeunes filles suggérèrent aux enfants de s’en aller en voiture pour une petite promenade. Leur intention réelle était de les éloigner de l’endroit des apparitions et de les garder avec elles jusqu’à ce que l’heure de l’apparition soit passée. Cependant, alors que les enfants étaient loin du Podbrdo, à l’heure habituelle de l’apparition, ce fut comme un appel intérieur qui les força à sortir de la voiture. Alors qu’ils priaient, la Sainte Vierge se dirigea vers eux, venant du Podbrdo qui se trouvait à environ un kilomètre de là. Les enfants prièrent les sept « Notre Père ». La ruse des jeunes filles n’eut pas l’effet escompté.  Peu après cela, la police interdit strictement l’accès de la colline des apparitions aux enfants et aux pèlerins.
Mais la Vierge continua de leur apparaître dans des endroits secrets, chez eux ou dans les champs. Les enfants avaient acquis une certaine confiance et parlaient ouvertement avec Elle, attendant avec impatience Ses conseils, écoutant Ses avertissements et Ses messages. Les événements de Medjugorje continuèrent de cette manière jusqu’au 15 janvier 1982.
Entre-temps, le curé de la paroisse, le père Jozo, avait commencé à accueillir les pèlerins dans l’église, les aidant à prier le Rosaire et célébrant l’Eucharistie. Les enfants participaient également au Rosaire. La Sainte Vierge leur apparaissait alors dans l’église à l’heure habituelle. Le curé de la paroisse lui-même, tandis qu’il priait le Rosaire, vit la Sainte Vierge. Immédiatement, il arrêta sa prière et commença spontanément à chanter un hymne à la Vierge très connu et aimé : « Lijepa si, lijepa, Djevo Marijo » – « Tu es Belle, Ô bienheureuse Vierge Marie. »
L’église toute entière s’aperçut que quelque chose d’inhabituel venait de se passer. Puis, le père Jozo témoigna de ce qu’il l’avait vu. Lui, qui jusque là n’avait pas seulement été sceptique mais ouvertement opposé aux rumeurs d’apparitions, devint leur plus grand défenseur. Il témoigna si fortement de son soutien qu’il fut jeté en prison.
A partir du 15 janvier 1982, les enfants accueillent la Vierge Marie dans une pièce de l’église paroissiale. Une disposition prise par le curé pour faire face aux difficultés et parfois aux réels dangers qui menaçaient les voyants. Auparavant, les enfants s’étaient assurés que cela était en accord avec les désirs de la Sainte Vierge. Mais bientôt, l’évêque interdit que les apparitions aient lieu dans l’église ; elles se déroulèrent alors dans une pièce de la maison paroissiale.
Du début des apparitions à ce jour, il n’y a eu que cinq jours durant lesquels aucun des enfants n’a vu la Vierge Marie.
La Sainte Vierge n’est pas toujours apparue au même endroit, ni au même groupe, ni aux mêmes personnes et Ses apparitions n’ont pas toujours eu la même durée. Parfois, elles ont duré deux minutes, parfois une heure. La Sainte Vierge n’est jamais apparue par la volonté des voyants. Parfois ils priaient et attendaient, mais la Vierge Marie n’apparaissait pas, pour ensuite apparaître de manière inattendue. Parfois aussi, Elle apparaissait à l’un et pas aux autres. Si Elle n’avait pas promis une heure de rendez-vous précise personne ne savait quand Elle apparaîtrait, ni même si Elle apparaîtrait. Elle n’apparaissait pas toujours uniquement aux voyants, mais également à d’autres personnes de générations, de tailles, de races, d’éducation, de professions ou de situations économiques différentes. Tout cela nous montre que les apparitions ne sont pas le produit de l’imagination. Elles ne dépendent ni de l’heure, ni de l’endroit, ni du désir ou de la prière des pèlerins ou des voyants, mais seulement de la volonté de Celui qui permet ces apparitions. 

Père Ljudevit Rupcic, OFM ."


http://apparitionsmariales.org/

Publié dans Apparitions mariales

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